Martine Aubry déclare dans la préface du livre de Michel Falise ; « Michel Falise inscrit la démarche de la démocratie participative comme une nouvelle avancée démocratique , une étape nouvelle dans un processus , dans une « dynamique inachevée ». C’est vrai, nos institutions sont perfectibles. » Le chemin peut encore être long, la démocratie participative est un horizon mobilisateur qui a l’avantage logique de la vérité. Elle est un thème porteur de valeur.
Le peuple aspire à la dignité, il doit remplir les conditions qui la lui permettent, mais aussi en avoir les moyens et la volonté de remplir ces conditions. Il vouloir et pouvoir.
Le viatique nécessaire sera l’humilité du chercheur qui parfois piétine, la foi en les forces vives de la société, ses demandes multiformes porteur de valeurs à articuler avec une large citoyenneté, il sera aussi le courage et l’endurance nécessaire à celui qui va à la découverte d’espaces nouveaux.
Un examen rigoureux et précis de ce qu’est la démocratie participative et une construction méthodique de ce qui y articulera l’offre et la demande constituent les bases de ce projet ambitieux, qui rencontre inévitablement obstacles et oppositions.
Il faut lever les imprécisions, les ambiguïtés, éviter les pièges, les manipulations et les illusions, sortir des impasses. Les règles de bonne gouvernance sont des règles générales. Elles valent également pour la démocratie participative.